Et sur ce corps brûlé
Aux feux du soleil plus loin encore
Immensité du ciel, cette mer immense
A l'automne
J'irai à voir dans ses yeux Cette petite flamme de vie
L'amour c'est un sursis |
Mon rêve est à nos amours
Ce monde inconnu évanescent
Mon rêve est à ta peau
Viens je t'emmène
Viens à mon rêve, mes bras, ma force
Oublions ensemble |
Mes beaux yeux sombres vont délaver..
Phosphates, phosphores et autres zinc
Ratatinée dans ses fringues
Accoudées une autre bière tiens ! |
Je suis amoureuse de la femme de ces textes
Je me prenais déjà pour Natalie Barney
Je sens en elle les serments que la vie
J'aime parce que je sais aimer
J'aime et l'amour est sans logique
Que m'importent les lois
J'aime celle à qui j'ai refusé
J'aime aujourd'hui cette écritoire
Je t'offrirai des arraches cœurs
Nos mots mêlés se parlent et se répondent
Tu es ma déraison |
Ce monde qui se détraque
A ton au-delà, à ces confins
Tu es mon frère malgré tous
De pratique, de réalité, des clous !
Parviendras-tu Will cette tâche
Es tu mort déjà, un être irréel, ailleurs |
Deux steaks s'il vous plait |
J'étais amoureuse de toi jusqu'ici
Ma parfaite, mon absolue, mon absente
Tant de fois j'ai étreint caressé
Souvent l'ai-je confondue
Je me suis perdue moi aussi
Hiéroglyphes presque fous
Ding dong Quasimodo
Bic micro cette fois
Les cloches de cette cathédrale Le beurre, son argent, la crémière
Un mot pour un autre désormais
Sans aucun regret
Ma lymphe gerbe à l'envie
De vivre
Je suis absente même à moi-même
Je suis la vie et je refais
Plus immortel, plus invincible
Et j'interdis que l'on engendre |
De papier journal je fais des bateaux |
La Fontaine était un voleur
Engeance millénaire |
Butagaz méthylène
Petite flamme bleue qui danse Tu es celle même ...
Tu es la vie de tout ton corps Tellement ...
Tu es cette tornade, ce feu dément, cette possédée
Tu es cette femme au grand complet |
Rimes
Enclume Marre tellement …
Qui tiendra les promesses ancestrales
Les magiciens sont des escrocs invétérés
C'est sans un mot que naît la vérité
Rimaille
Nos ancres amarrées |
Sa mère a étranglé Hercule dans son pieu
Les gageures humaines |
Etre cette femme sans histoires
Je viens d'ailleurs
L'histoire se répète et moi non
Résonner de sens indistinctement
Je vais à mes déboires moderato Je suis cette femme … |
On m'a volé les mots
Lorsqu'ils sont refusés
Je les ai crus parfois
Je les ai dit, un jour, c'était autrefois |
Je me sens amazone et guerrière
Les pieds nus dans le sable brûlé
Tu es mon joyau et pour l'éternité
Tu es ce talisman, cette religion
En ces prisons qui me libèrent |
Je t'ai aimée tu sais
Je t'ai aimée encore toutes ces années
Je te regardais embrasser l'autre
Ce que j'aime ta voix
Cet amour meurtri
C'était il y a quinze ans
Dans ce baiser imaginaire
Nous sommes ces amantes maudites |
Les pieds sur Terre
Les pieds au mur
L'estomac dans les talons
Le corps en cadence
Feu follet jaillissant
Etre cette autre
Une quête à satiété Je suis d'ici et d'ailleurs.. |
Sous les coraux les anémones
Verser à l'océan
Je suis goéland et crachin.. |
My ladybird est repartie
A l'amour telles à un absolu
Je décline le ciel avec impuissance
Si j'avais su t'offrir |
Gueule de bois mon cœur
Moitié plein, moitié démesuré
Apollinaire ; je décolle
Aperçue une femme Comanche
Demain au plus tard
Partir à d'autres saoulitudes amères
Peu m'importe les avanies |
Mes voyous zonent dans les caves..
Distributeur
La dernière seringue
Cette ville pourrie a trahi des enfants |
Et qui a engendré Narcisse, à quelle fin ?
Si je pleure ô dieux !
Qu'importent les augures ! Au terme de ma quête.. |
Il est mort
Comment peut on oser
Génocides, génocides
Ce soir à la télé magic !
Ces bovidés |
Ces horizons de bleu
Touche à touche de lumière
Primevère |
Au bord du lac artificiel
Mais je suis seule et les mains dans les poches
Je suis le masque de fer sempiternel
Je ne regarde ni droite ni gauche |
Buste de femme
Les reflets de lumière en été
Peut on tout dessiner |
Champagne et petites bulles
C'était il y a longtemps
Chaque an vanité
Ai-je vécu vraiment
Vos beaux yeux rêveurs
Anniv terrasse de café
A l'inconnue aux yeux verre 28/12/04 |
Ta musique à mes tempes
Ma semeuse tu dispenses
De voler à nouveau immense
Impudentes
Je retourne à l'essence
Encore, encore Un oiseau danse … |
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