Délirium | Conte de fées | Eh toi.. |
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I call | Seul | Démission |
La nuit | Rage ! |
Ivre enfin de vrai poison et la nuit
Quand enfin cette obsession criminelle |
Sorcière du bout des temps
Tombe à genoux ah fi
Prince charmant celui-ci
Sorcière d'infini
Sorcière du bout des temps
Princesse au fond des bois |
Eh toi.. ta voix si douce et enfantine
Qui peut saisir ce frisson caché intérieur
Ignore ce qui ne peut t'égaler
Un certain jour arrivera, destinée |
Tempête éclairs chaos
Monde entends le tonnerre il gronde
C'est eux que l'orage appelle De douleurs..
Imaginons ce moment
L'orage qui s'éteint te murmure
Démission
Le dormeur peu à peu ferme les yeux |
" Le mot de haine
Jalousie,
Jolies, jolies |
La mer s'est arrêtée au bord de ces yeux
Ces yeux sont parfois plus terribles que l'enfer
Les vagues noires, la fougue de l'océan
Ces yeux qui aveuglent en étant doux, sont
La mer calme et sans vent
Ce que l'on adorerait ce fabuleux mirage |
Mon flanc mutilé se déchire
Cet objet de la fantastique flamme
Ecorché de griffes, ce cœur mis à nu
Rage terrible de toujours espérer,
A ce très stupide moment où l'on aime |
L'effet produit sur une vie monotone l'espoir qu'elle va s'achever
Au moment connu du quand de sa fin
Moment apothéose de l'égocentrisme
Ni heures ni stress enfin
Le mal advient, s'achève |
Ce feu strident dévore ma chair J'ai du mal à y croire..
Ces larmes mêlées à mon sang
Ce vrai mal de ma grande trahison Nos amours transitoires..
Et pourquoi mon corps et pourquoi erreur
D'être capable d'aimer |
Muse ?
Oh je t'attendais
Une voie à ne pas suivre
Pardonne moi je ne veux plus
Immorale
Donne les oiseaux à mes lèvres
Et tu sais toi mes faiblesses |
Je vais à ma finitude à cette mort
Peut-on ne jamais se souvenir ?
Mon sang et leur venin
Mon incapacité à aimer
Ces cœurs d'un seul jour
Je ne les verrai plus
Les transes qui m'habitent
Je prie mon Créateur
De portes cochères
Fourberie, hypocrisie, mensonge |
L'astre singulier peu à peu s'en va aussi
J'attends en silence, sans mot dire
Que n'ai-je la force de la quitter
Tant de jours j'aurais souhaité
Ultime ! Une mort grandiose |
Tout est noir et ouvre enfin les yeux
A s'aventurer seule dans la nuit glacée
Aveugle des plaisirs du jour et des joies
Qui me fera voler dans des cieux sans soleil |
Mon cœur qui trédanse
Je crie à la trahison
Que leur dirai-je
Conjuguer l'hypocrisie
Gratte gratte
Mes colères plus honorables |
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